Elwen est un jeu de rôle dans un univers médiéval fantastique

Je m'approche du chef de la compagnie et m'adresse à lui

Mon cheval est robuste, il peut nous porter tous les deux jusqu'en Elwen, la route vous sera ainsi plus confortable, si vous le souhaitez bien sur...

Et joignant le geste à la parole je tend la main au chef pour le hisser sur mon cheval derrière moi

Tout en continuant de marcher, il répond à l'elfe

Ce ne sera pas nécessaire. Un commandand, qui ne partage pas le quotidien de ses hommes, n'est rien.

La compagnie emprunte la route menant droit vers la cité. La mission est accomplie, mais les routes n'en restent pas plus sûre. Theudbald ne se relâche pas, il reste en état d'alerte permanent. Il pourra se reposer une fois les portes de la cité franchies.

[hrp Vraiment Commandant Theudbald ? Un petit jet sous votre caractéristique de Corps pour voir un peu votre endurance à la fatigue, et de même pour la demoiselle chevalier.]

Orc : [dice]0[/dice]

[dice]0[/dice]

[hrp: ma C ou celle du cheval? La mienne = 61, celle du dada = 60]

[dice]0[/dice]

Theudbald s'arrête un instant pour souffler. Il savait pertinemment qu'ils ne pourraient faire le trajet d'une seule traite. Ses hommes et lui avaient dû faire un bivouac à l'aller, mais il aurait espéré une meilleur progression.

La bataille l'a épuisé, c'est sans doute cela. Pourtant son caporal semble frais et aucunement affecté par la fatigue. Il est impressionné et admiratif de l'endurance des orcs.

On s'arrête ! Un bivouac s'impose, il ne serait pas sage de continuer à ce rythme après une bataille. Si des emmerdes nous tombent dessus, on devra être en pleine forme.

Demain nous repartirons et on essaiera de rallier la cité d'une traite.

Le nordique choisit d'installer le campement aux abords des champs. Le planter en plein milieu risquerait d'attirer l'attention des paysans et aujourd'hui il ne se sent pas assez patient pour parlementer.

J'approuve la décision du commandant d'un simple opinement du chef. Je descend de mon cheval, lui donne un peu à manger dans la main et l'attache pour la nuit, lui enlevant sa selle, posant ma lance à ses côtés et prenant mon tapis de selle afin qu'il me serve d'oreiller. J'enlève l'épée des rois de mon dos et la pose par terre juste à ma droite pour m'endormir et y joint ma rapière, je garde ma dague sur moi, elle ne risque pas de me blesser dans son fourreau


[hrp: jet de C pour voir si je dors bien]

[dice]0[/dice] sous C=61