Irinia poleska
Posté : mar. 18 juil. 2017 20:02
Je traînais dans une taverne sur la route pour aller en elwen, cela faisait une dixaine de jours que je suis partis de mon village après avoir fait mes adieux à mes grand-parents adoptif. Je regardais les badauds qui était du coin ou soit de passage après avoir commander un verre d'eau et un repas. La serveuse m'a demander de payer tout suite. Car je n'ai pas l'air de passants qui payer et tenter de fuir après avoir templis sa pense. Car qui ferait confiance a une personne qu'on ne pouvait voir que ses mains et le bout de son nez. Je n'aimais pas montrer mon visage, donc j'avais garder ma cape et la capuche rabattu sur la tête. Je tatonnais sur mes deux dagues sur mes hanches, la sensation de l'acier froid sur peau m'apaiser, je n'aimais pas me sentir démunis depuis la mort de mes parents. Je fis signe à la serveuse pour qu'elle me reserve de l'eau.
Après une brève nuit dans l'auberge et aucun soucis, je repartis donc sur la route. Deux ou trois passant purent voir à l'aube du jour une ombre partir sur la route. Je ne sais guère ce qui m'attends dans la cité des espoirs et des déchus, qui n'étais autre qu'Elwen.
Les jours de marches était identique au précédent ansi de suite pendant presque une semaine. Forêt, plaine ... forêt et encore plaine.
Jusqu'à que les murailles de la fin de mon voyage apparaisse devant moi. Je ne pressais pas, car cela ne changerais pas. Que les débuts de mes aventures commenceraient quand j'aurais franchis enfin la porte de la cité.
Après une brève nuit dans l'auberge et aucun soucis, je repartis donc sur la route. Deux ou trois passant purent voir à l'aube du jour une ombre partir sur la route. Je ne sais guère ce qui m'attends dans la cité des espoirs et des déchus, qui n'étais autre qu'Elwen.
Les jours de marches était identique au précédent ansi de suite pendant presque une semaine. Forêt, plaine ... forêt et encore plaine.
Jusqu'à que les murailles de la fin de mon voyage apparaisse devant moi. Je ne pressais pas, car cela ne changerais pas. Que les débuts de mes aventures commenceraient quand j'aurais franchis enfin la porte de la cité.