Elwen est un jeu de rôle dans un univers médiéval fantastique

"Il n’y a pas de sous terrain sur mon territoire. Je t’attendrais et tu as intérêt à me payer."

Il fronce imperceptiblement les sourcils. Il lève une main et lisse ses cheveux en arrière. En même temps, il profite de ce geste pour tisser un sort de charme assez léger. Il serait tout à fait profitable de rallier le gurauk à leur cause, même temporairement. Le jeune sorcier estime de surcroît que la créature doit encore gagner son or.
Après avoir réalisé son sortilège, réussi ou non, il reprend :

"Mais je sssuis sssur que tu sssouhaites qu'on trouve ssse sssouterrain le plus rapidement posssible, ne ssserait-ce que pour la couleur de ssset or, et pour sssela, il ssserait dans ton intérêt de nous prêter main-forte."

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Le gurauk marque un temps d’arrêt, réfléchit-il ? Puis ses babines cachent ses crocs et ses oreilles pointent vers l’avant.

D’accord, une entrée de souterrain, je vais chercher avec ma meute.

Et il part vers la gauche des aventuriers dans le bois.

Il suit le départ du gurauk des yeux, jusqu'à ce qu'il ne soit plus visible. Là, il se retourne vers son apprentie. "Voila qui est mieux. Reprenons nos recherches, une fois que nous aurons terminé ssse sssecteur, nous nous rapprocherons de la montagne et reprendrons les fouilles."

Pour le moment, il ne dit rien de son sort à l'ex-bannie, au cas où des oreilles indiscrètes se trouveraient encore assez proches. Montrant l'exemple, il se remet à fouiner la zone. Apparemment, il n'y avait pas de souterrains sur le territoire du gurauk. Rien de visible en tout cas. Peut-être l'entrée est-elle cachée derrière un bouchon de terre et de restes végétaux accumulés. Chaque fois qu'il pense avoir trouvé un endroit convenable pour une entrée souterraine, il se met à sautiller sur place et tester la solidité du sol.

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Shilok ne trouve rien, à un moment elle s’est exclamée en trouvant un petit rocher sous la mousse entre deux buisson pour aussitôt dire à Mérinid que ce n’était pas ça. Le temps s’écoule et au soir ils n’ont toujours rien et la meute n’est pas revenue.

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"Bon. On va ssse rapprocher encore de la montagne, on dirait qu'il n'y a rien par isssi." Il époussette ses mains et se met à marcher vers le nord, pendant une bonne heure, un peu plus. Deux au maximum. Après quoi, il décrète un arrêt pour la nuit, de toute façon, il ne sera pas possible de fouiller efficacement sans lumière.

La seconde lune est au dessus d’eux quand ils sont réveillés par l’arrivée de la meute et d’un gurauk.

"On l’a trouvé sur un territoire voisin, mais l’accès sera difficile, venez on vous y mène. Il y a une autre meute qui s’y est installée."