Niazek la chaudière

[Crocs]

Elle cligne des yeux, plusieurs fois, lentement, recolle les souvenirs confus qui lui viennent par petits morceaux.

Ah oui, la chouille d'hier soir... peut être un peu trop d'alcool...

Elle fini par ouvrir les yeux et en se relevant doucement, regarde autours d'elle. Des corps éparpillés dans la salle, au moins aussi peu frais qu'elle marmonnent ou ronflent encore, jusque la, tout est normal.
Puis elle remarque qu'ils ne sont pas tous humains, la variété de races et même intéressante.

Est ce qu'on peu vraiment se murger la gueule si fort qu'on se réveille dans un autre monde ? Se demande t elle brièvement avant de se palper pour vérifier ses affaires. Le peu qu'elle a sur elle ne l'inquiète pas trop outre mesure, d'après ce qu'elle voit, ce monde est plutôt dans la bonne époque pour une brute de sa trempe.

Elle se relève donc complètement, plus ou moins difficilement et sort par le simple rideau, un coup d'oeil sur un panneau lui indique qu'elle sort de l'antre des gargouilles et elle se pose deux minutes contre le mur pour laisser ses yeux s'habituer a la lumière.
Laissant les Elwenniens présents découvrir une grande femme dépassant les 2 mètres, assez musclée, revêtue d'habits étranges et arborant une crête de cheveux rouges écarlates.

[La Conteuse]

[Hrp Origine ou Futur ? Oupsy mal lu ]

Un quasi-dragon, humanoïde à la peau couverte d’écailles bleues sans poil, juste sous son nez l’observe avant de la saluer. Il est petit, 1m50 ou 60 à tout bien considérer. Sans doute veut il passer.

Man’aurë.

[Crocs]

Heing ?

Elle s'écarte du passage, fixant peut être un peu trop le quasi pour être polie.
Puis elle observe la rue, les bâtiments, les gens dedans et cherche du regards un quelconque panneau ou signe indicateur qui pourrait l'aider à savoir ou elle est.

[La Conteuse]

L’entrée de l’auberge donne sur une place et des portes de ville grandes ouvertes sans gardes semble t il. Entrent et sortent des personnes de hautes et toute petite statures de races et espèces différentes, des crocs sayants des cornes des ailes de toutes sortent desoreilles pointues des oreilles plates des chiens debout des chats marcheurs des peaux bleues blanches vertes violettes des écailles des poils ... ça et là elle remarque des personnes plus ou moins armées plus ou moins habillées. Sur la place qui s’allonge à sa droite des estaminets font terrasse au milieu d’arbres qui sortent du dallage blanc veiné de bleu azur des pierres de la ville. L’Antre n’a pas cette couleur, ses murs sont comme coulés d’un bloc de pierre couleur parchemin de peau, et ils en ont la douceur et la chaleur.

[Crocs]

Chelouuuuu... J'aime bien !!

Scannant de son regard perçant les passant de passage, elle tente d'en trouver un ni trop pauvre ni trop riche et surtout qui a l'air local pour lui demander ou elle pourrait trouver un marchand pas roublard pour un sous.
Elle a bien l'intention de pas se faire rouler dans la farine dès son réveil dans ce monde étrange !!

[La Conteuse]

Parmi les passants il est difficile de trouver un "couleur local" il semblerait que celle ci soit la diversité, cependant parmi les clients de l’auberge la plus proche les gens armés de rapières semblent être régulièrement consultés par les passants et ils répondent aimablement.

[Crocs]

Elle se dirige donc vers ces étranges mousquetaires.

B'jour, Je cherche mon chemin, vous pourriez m'aider ?

Elle tente un sourire, quitte a faire touriste, histoire qu'on la sous estime sans se faire d'illusions non plus.

J'espère que je ne dépare pas trop dans le décors.... Et qu'ils puissent me comprendre...

[La Conteuse]

Les gens en armes la regardent fixement quelques secondes de trop avant de répondre. Le plus vieux prend la parole.

Vous cherchez quoi ?

[Crocs]

Ouf ! ils me comprennent ! c'est déjà ça...

Je cherche un marchand, j'oserais pas dire honnête hein, Ricane t elle Mais que j'me fasse pas dépouiller ce serait pas mal !

Elle semble réfléchir puis redemande : Et aussi si vous avez un genre de guilde pour les gens qui font de l'alcool ?

[La Conteuse]

Pour la guilde j’en sais rien, il regarde ses comparses pour voir s’ils savent quelque chose mais ils sont comme lui vous devriez demander à la guilde des marchands ce sera le plus simple, vous les trouverez près de la banque et du palais, au bout de cette rue sur notre droite. Pour les marchands il y a toute la place, il y en a aussi sur la place du palais et il y a les marchands ambulants. Pour leur honnêteté, ce sont des marchands hein, faut pas trop en demander. les collègues du soldat rigolent de la remarque.