[Lieu] Bureau de la Guilde des Guerriers

[Sieglinde]

Bien. Tout simplement pour en faire rapport et pour que l'on généralise le système s'il s'avère efficace. De plus je ne me permettrais en aucun cas de créer une force armée, même une simple milice rurale, sans l'accord de la hiérarchie et donc à travers elle de notre Roy.

Je salue et sors, après avoir demandé une autorisation écrite afin que les villageois acceptent mon enseignement

[hrp: je crée le sujet ou toi?]

[La Conteuse]

[hrp elle ne te donnera pas d'autorisation écrite ]

Si vous souhaitez faire part de cette doléance au roi, les questions au conseil sont ouvertes certains jours de la semaine, mais je ne saurais vous dire quand.
Vous pouvez disposée.

[Sieglinde]

*L'administration...Et on s'étonne que la guerre dure toujours...*

Je salue et sors pour m'informer de quand ont lieu les conseils royaux.

[La Conteuse]

C'est au milieu d'un combat entre deux groupes armés d'armes de bois et arbitrés par une elfe des bois au regard étrange portant dans son dos un nourrisson que Madrax débarqua. Depuis l'encadrement de la porte du bâtiment derrière la guerrière un elfe noir observait, à son front on pouvait deviner qu'il réfléchissait.

[Madrax]

Il observa la bataille entre les deux groupes pendant quelques instants. Il ne lui était pas aisé de sourire comme les sans-écailles, pour une raison manifeste, mais son regard s'illumina quand même.
Il nota l'elfe noir et la femelle avec l'enfant. Les deux semblaient posséder une sorte d'autorité ici, mais lequel dirigeait vraiment ? Sa tentative se porta vers l'elfe noir. Si ce n'était pas lui, au moins il n'interromprait rien. Ou peu.

Il glissa jusqu'au bâtiment et grava rapidement :

"Êtes vous le commandant ?

Je veux devenir guerrier."

[La Conteuse]

L'elfe noir d'abord surpris baissa les yeux sur la tablette d'argile puis il montra ses oreilles.

M'entends-tu ? Si c'est le cas c'est à la femme à l'enfant qu'il faudra t'adresser quand elle en aura finit.

La fin du combat n'était pas loin, chaque fois qu'un guerrier recevait une touche en un point mortel il s'écartait il restait deux combattants dans un camp et un dans l'autre. Ce dernier bougeait beaucoup.

[Madrax]

Il acquiesça, au questionnement sur son ouïe ainsi qu'à l'information. La femme donc. Puis il reprit l'observation du combat, sans rien dire. Ce n'est pas comme s'il pouvait de toute manière. Mais sans écrire.

De son point de vue, le dernier seul semblait doué. Mais se battre contre deux adversaires à la fois n'avait pas grand chose de comparable avec le fait de devoir n'en gérer qu'un. Il décida quand même de croiser les doigts, métaphoriquement parlant, pour le dernier du camp.

[La Conteuse]

Il n'y eut pas de miracle, de part et d'autre les techniques étaient affutées et ce que l'un perdait en vitesse était équilibré par la force de l'autre de telle sorte que le dernier fut fait en quelques passes d'arme.

[Madrax]

*Dommage.*

Il attendit patiemment près du pas de la porte, pour voir et entendre la conclusion de l'entrainement par l'elfe avec l'enfant. Ensuite il pourrait aller la déranger. Il effaça la moitié du texte de sa tablette, ne laissant que sa postulation. Il avait hâte intérieurement. L'elfe noir n'avait même pas cherché à le dissuader à cause de son handicap. Ce qui était prometteur.

[La Conteuse]

Elle se détourna tandis que les combattants s'éloignaient après l'avoir saluée.
Qu'est-ce ?
Demande-t-elle au sorcier aprés avoir jaugé Madrax.
Un guerrier de Raukarth Commandante.
Elle se met face á Madrax, dos au sorcier. Présente toi.