[RP] La Halte aux quatre vents

[La Conteuse]

Lisa lui propose de faire un crochet pour acheter d’autres bourses. Elle en profite pour acquérir une ceinture avec deux poches larges.

La route est assez calme, elles rencontrent de nombreux voyageurs, souvent en carriole, Lisa fait remarquer qu’elle aurait dû leur prendre un passage à bord d’une d’elles. Puis l’intersection vers la cité d’Elrazad les mène sur une route moins fréquentée. Quand Lisa envisage de faire une pause, la Halte se profile au bord du chemin, elle se situe en retrait de la route, dans une clairière encadrée d’arbres et quatre chèvres broutent devant. Un cheval est attaché devant et la porte est ouverte. À l’étage des balcons débordent de plantes et de fleurs.

[Crocs]

Elle avais suivit la nouvelle Dame libre un peu partout jusqu'à arriver a sa propriété. Elle siffle d'admiration en voyant le bâtiment et, attendant qu'elle souffle, lui avoue.

Et si ils viennent vous chercher ici ? Je ne sais pas à quel point votre famille est motivée a vous retrouver et si c'était dans vos possession, il n'est pas exclu qu'ils soient au courant.

[La Conteuse]

Lisa s’approchait déjà. Elle s’arrête se retourne en proie au doute.

Est ce que je suis reconnaissable ? Penses tu que nous puissions entrer sans être remarquées ?

Il y a deux chevaux devant l’entrée et une carriole de marchand bâchée.

[Crocs]

Elle la rejoint. Ce n'est pas pour ce jour que je m'inquiète, même si il y a quelqu'un qui vous attends à l’intérieur, je peux m'en occuper et nous pouvons retourner à la cité, c'est surtout si vous décidez de rester sur le long terme.

[La Conteuse]

Elle lui sourit.

Il faut effectivement que j’y réfléchisse. Alors qu’elle s’approche d’une table libre une femme avec un tablier, la trentaine passée s’exclame : Lisa ma fille ! Que faites vous ici ! Si votre mère était encore là elle hurlerait de vous voir attablée ici. Venez manger avec votre famille mon petit."

Lisa chuchotte alors à Niazek. "C'est ma tante maternelle. Je crois que pour le moment je suis sauve."
puis à sa tante tandis qu’elle la suit : Voici Niazek, une nouvelle connaissance qui m’a bien aidée. Et qui m’aide encore dans la conquête de ma liberté. Je suis si ignorante du monde !

Sa tante de répondre. comme toutes les filles de marchands à Drendar